VISITE DU MOIS. AURÉLIE VANDERHAEGHEN.

Aurélie Vanderhaeghen est une de mes ambassadrices AQUACONSCIENCE préférées. Cette infirmière  en pédiatrie nous livre un témoignage sincère des étapes l’ayant menée vers la consommation quotidienne d’une Eau de qualité. J’ai aussi voulu connaître son point de vue sur la Covid, même si le travail d’Aurélie n’a pas été directement impacté  par cette maladie qui touche, en majorité, des personnes âgées et affaiblies. Mais son vécu dévoile un autre aspect de cette histoire.

« Chers amis d’AQUACONSCIENCE. Si vous lisez ces quelques lignes, c’est que vous avez peut être, comme moi, pris conscience de l' importance de boire une eau de qualité. Voici mon parcours pour y arriver. J’ai rencontré pour la 1ère fois Christine lors d’une conférence sur l’eau, organisée à son domicile. Je m’étais inscrite suite à une annonce dans un magazine bio.  Le thème m’intéressait car je voulais trouver une solution  pour limiter le plastique et que je détestais le goût de l’eau du robinet. Wow, que d’informations intéressantes, que de photos interpellantes et d’échanges ! Ma première action a été de passer à l’eau de SPA, vendue en bouteille de verre. En effet, passer à une eau faiblement minéralisée était déjà un premier changement. La publicité nous raconte n’importe quoi. 

Ensuite, j’ai dû affronter… mon mari ! Comment le convaincre ? Pour m’aider, nous avons testé et bu l’eau purifiée par le système BestWater durant quelques semaines via des bidons que je remplissais chez une dame qui avait déjà le système, — une AMBASSADRICE AQUACONSCIENCE. 

L’effet a été direct sur la bouilloire et les casseroles...bye bye le calcaire. Sans compter le goût du café et du thé qui est bien meilleur !. Pour m’aider à convaincre mon mari, Christine est venue gentiment réexpliquer pourquoi boire une eau purifiée, légèrement re-minéralisée et dynamisée. Et de répondre aussi à toutes ses questions. Et Yes, on a signé ! 

J’ai alors élargi mes connaissances en lisant des livres sur le sujet. Nous avons  parlé de notre système BestWater à nos familles, amis, collègues… Deux de mes collègues ont goûté mon eau et ont également pris conscience de ses vertus et ont acquis ce système! 

Enfin, j’ai voulu aller encore plus loin en voulant partager ces informations avec plus de monde… J’ai ainsi organisé des conférences avec Christine à mon domicile. 

Les hamsters chez Aurélie boivent aussi l’eau BWI :-)

Parlons de mes parents par exemple. Quand j’allais chez eux, je prenais des gourdes en suffisance car impossible pour moi et même les enfants de boire leur eau du robinet. Mes parents ont fini par acheter également le système BestWater. Cette eau ne me quitte pas non plus lors d’un court séjour à la côte belge par exemple. J’emporte un bidon de notre eau. 

Cerise sur le gâteau, j’allais aussi régulièrement aux conférences de Kathrin Wendel, la nutrithérapeute. Elle parlait parfois de la filtration de l’eau et expliquait qu'elle avait chez elle une fontaine EVA. Je lui ai parlé de Christine et j’ai organisé une rencontre. J’ai eu la chance d’avoir à mes côtés mes deux références santé. Chacune a présenté son histoire, son parcours, ses découvertes… Quelques temps après, Kathrin a installé chez elle le système BWI et transmet à son tour à de nombreuses personnes le pouvoir de l’eau de qualité »

Une bonne eau pour tenir à l’hôpital.

En ce qui me concerne, je suis infirmière en pédiatrie. Le covid 19 n’a pas beaucoup atteint la pédiatrie et a même "stoppé" provisoirement les autres virus de l’enfance, entre autres les plus connus le rotavirus et le VRS des bronchiolites.

Cette année particulière et anormale a décalé toute la saison classique de ces virus. L’épidémie de bronchiolites qui a normalement lieu de mi-octobre à mars n’a pas respecté ce calendrier, sans doute grâce au port du masque, de la désinfection…. 

Toutefois, l’épidémie s'est déplacée de la mi-février à juin! Très étrange. La météo n’ est donc pas l’unique cause de ce virus !

Aurélie avec une de ces poule “calins

Pour les quelques enfants touchés par la covid et donc,  hospitalisés, il n’y avait pas de problèmes respiratoires comme chez les adultes,. Juste de la température. 

Après une courte hospitalisation de précaution, ces enfants rentraient rapidement à la maison : le problème pouvait se gérer à la maison. Les enfants testés positifs étaient principalement des bébés, parfois de quelques jours ou semaines ! Ce virus était là comme si de rien était chez eux... 

Pour les infirmières, les mesures étaient épuisantes : le bébé et sa maman étaient isolés ; les repas étaient fournis par nous mêmes ;  il fallait s’équiper d’une blouse, d’un masque FFP2, d'une visière et de gants. De quoi avoir chaud et être essoufflée quand on procurait des soins ou que l’on parlait quelques moments avec la maman aussi enfermée. 

On a fait face aux ruptures de stock de matériel de protection, de matériels inadaptés voir ridicules. Les parents ne mettaient que très rarement leur masque quand on rentrait dans leur chambre. Ils nous pensaient peut être invincibles ? Puis lors de l'explication de nos règles de service à l’hôpital  en rapport avec la covid (visite, horaires, salle de jeu...) nous étions souvent agressées par les familles. Nous étions « inhumaines » avec « nos » règles !  Incroyable… et pourtant on a osé nous applaudir ? 

Donc oui le covid n'a que peu touché la pédiatrie en nombre de patients mais tout le reste est à tenir en compte. Mais chaque année pour nous, les infirmières de pédiatrie la période classique hivernal est également très éprouvante car la prise en charge des bronchiolites à VRS chez les bébés est très énergivore. Nos besoins passent après les soins, ce qui nous épuise rapidement. 

Je prends ma Best water avec moi dans une bonne gourde mais il arrive souvent que je n’arrive même pas à boire. Qui s’en préoccupe ? Sûrement pas les ministres de la santé car ils veulent supprimer la reconnaissance de la spécialité... Comment je tiens, âme demande gentiment Christine ? Je ne sais pas... l'amour du métier...mais les limites ne sont pas extensibles !”