SÉRIE :L’EAU ET LE SEL (1)

Le sel blanc et le sodium 


Saviez-vous que le problème du sel est le même que celui du sucre ? Oui, le fameux sel blanc, trônant malheureusement sur beaucoup de  tables en Belgique, est raffiné. Le souci n’est pas le « sel » lui-même, mais le chlorure de sodium, plus précisément le sodium lui-même, présent dans le sel.  


Qu’il provienne de sel marin ou de sel de gemme, le résultat est le même : à l’issue du processus de raffinage, le sel est composé presque exclusivement de chlorure de sodium. 


Le raffinage, que l’on appelle également parfois « blanchissement », est un processus éliminant ce que les industriels appellent (bien à tort) « les impuretés » du sel… Principalement, des sels minéraux et oligo-éléments autres que le sodium, mais aussi les petites algues parfois présentes dans le sel de mer. 

A l’issue de ce processus radical donc, le sel n’est plus composé que de chlorure de sodium, une substance parfaitement blanche et transparente. 

Un  sel à l’aluminium ?

Mais ce chlorure de sodium absorbe l’humidité ambiante. Pour éviter ce désagrément, les industriels ajoutent diverses substances, notamment des dérivés de l’aluminium. Il s’agit là du premier problème du sel raffiné : l’aluminium est une substance dangereuse. 

Ce métal a, en effet, comme propriété de se fixer dans les cellules du foie, des reins, du cœur, des os, de la moelle osseuse et surtout … du cerveau. 

Ingéré en trop grande quantité, l’aluminium peut provoquer des anémies, des intolérances au glucose, une accélération de l’ostéoporose et des insuffisances hépato-rénales. Sans oublier, les très fréquents problèmes d’hypertension !

Le sel d’Himalaya


L’aluminium  n’est pas le seul ajout dans le sel raffiné mais je ne veux pas être trop longue ici. Le sel de table est donc un produit industriel trafiqué et modifié. 


Il est VIVEMENT recommandé d’utiliser du sel de l'Himalaya ou autre sel de qualité. Ces

petits trésors, abrités au sein même de la terre, loin de toute pollution, sont  enrichis naturellement de minéraux et d’oligo-éléments. 


L’Himalaya est une des régions les moins polluées du monde. On ne peut malheureusement pas en dire autant de nos mers et océans ! Hydrocarbures dûs aux dégazages illégaux ;  métaux lourds et produits chimiques  à travers le déversement de déchets, les rejets d’eaux usées industriels : toutes ces vraies impuretés (! ) laissent des traces dans le sel de mer…  


Le sel d’Himalaya est aussi recommandé pour l’usage en cuisine  et comme sels de bain. 


En octobre, la série Sel et Eau continue avec  le sujet "Minéraux et oligo-éléments”. Puis, en novembre, on reviendra sur la problématique du sel et de l’eau !

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