L’HYDRATATION SELON LA BIOÉLECTRONIQUE VINCENT
On va sortir de l’Hiver qui a pour élément l’Eau en médecine chinoise ; on entre dans l’année du Tigre d’Eau et… le 22.02.2022, c’est la Journée de l’Eau ! Le thème de ce mois est la Bioélectronique Vincent ( BEV) inventée par un ingénieur-hydrologue français dans les années 1930. Il a été l’un des premiers à souligner, en 1937, l’importance de la qualité de l’Eau comme boisson idéale pour la santé, ainsi que la nécessité de veiller à un apport suffisant pour préserver l’équilibre hydrique.
Ma philosophie de l’Eau a été inspirée par la vision de Louis Claude Vincent. Ce grand ingénieur-hydrologue avait écrit : “Le culte de l’eau pure fut le premier culte des homme car c’était celui de la vie et de la santé »
Ce culte quasi religieux devrait encore exister aujourd'hui et je vais vous expliquer pourquoi.
Mais d’abord qui était ce grand monsieur ?
En sa qualité d'ingénieur-hydrologue, Louis-Claude Vincent a été l’un des premiers à souligner, en 1937, l’importance de la qualité de l’Eau comme boisson idéale pour la santé, ainsi que la nécessité de veiller à un apport suffisant pour préserver l’équilibre hydrique.
La Bio-électronique Vincent BEV a été fondée par lui en 1935. La méthode est basée sur le modèle électronique ; la température, le pH, le potentiel redox et la conductivité électrique sont mesurés.
La BEV est une procédure simple pour l'évaluation de l'équilibre acido-basique (pH), du potentiel de réduction-oxydation (redox) et de la résistivité de l'eau, du corps humain, du sol et des aliments frais (fruits, légumes, lait, vin...).
Les résultats de ces 3 paramètres déterminent l'état de santé du terrain de l'eau ou de l'échantillon testé. Appliquée à la santé humaine, la méthode BEV permet de prédire et de prévenir les maladies modernes. Appliquée à l'Eau, la méthode BEV déterminera celle qui sera la plus pure et la plus saine à boire.
L’indispensable équilibre hydrique
L’Eau permet de réaliser toutes les fonctions de l’organisme: digestion, circulation du sang, élimination des déchets, régulation de la température interne, respiration etc.. Elle joue également un rôle primordial dans le métabolisme des glucides et des protides, mais elle a aussi un rôle actif au sein des milliards de cellules de l’organisme.
Petit rappel : le corps d’un homme de 60 kg contient 40 kg d'eau pour seulement 20 kg de matières solides ! L’eau est donc essentielle pour notre corps.
Pour éviter la déshydratation, il est indispensable de compenser les pertes (+/- 2,5 litres) par une hydratation équivalente (2,5 litres) répartie tout au long de la journée.
L’eau de boisson (1 litre et demi d’eau pure et d’infusions…) sera complétée directement par l’organisme avec l’eau récupérée au cours des divers métabolismes (+/- 0,3 l) et avec l’eau contenue dans les aliments (+/- 0,7 l). Cette eau, filtrée et vitalisée par les végétaux (fruits et légumes) est d’excellente qualité. Elle peut présenter parfois plus d’un litre d’eau si vous mangez beaucoup de crudités.
2.Les risques de la déshydratation
La concentration en Eau des cellules dans l’organisme et l’importance du rôle de l’eau circulant dans les fonctions vitales du corps permettent déjà de comprendre le danger d’une déshydratation. La bioélectronique complète ces données en précisant que la déshydratation a des conséquences graves pour la santé, en ayant pour effet d'alcaliniser le sang, de diminuer les capacités d’oxydoréduction et surtout d’augmenter la viscosité du sang !
Suite à la perte de l’eau, la concentration en électrolytes a augmenté, produisant deux types de réaction : d’abord une diminution des capacités énergétique de l’organisme (comme une batterie qui aurait perdu son eau) et surtout, une augmentation de la sensibilité aux variations électromagnétiques liées à l'environnement et au cosmos.
Perte d’eau intense et soudaine
Lors d’un effort musculaire et durable ou d’un épisode de forte chaleur quand la perte d’eau - qui peut atteindre 3 à 4 litres - est mal compensée par un apport d’eau insatisfaisant. La viscosité du sang augmente et le risque de coagulation peut provoquer des complications cardio-vasculaires par thrombose brutale, soit au cerveau, soit au cœur. C’est malheureusement le risque vécu tous les ans par de nombreux sportifs.
Perte d’eau est légère mais chronique
Cette situation, très répandue dans la population, parmis les adultes, les enfants, les personnes âgées, perturbe l’organisme dans son ensemble, en agissant dans 3 domaines précis : la réduction des éliminations de toxines ; l’augmentations de la viscosité du sang et
la diminution du renouvellement de l’eau cellulaire.
Réduction des éliminations de toxines
Avec moins d’eau, les reins fonctionnent moins, les urines deviennent concentrées, des calculs rénaux peuvent se former et des infections urinaires peuvent se produire. Si l’eau corporelle vient à manquer, la peau ne peut plus éliminer les toxines par la transpiration ; ce qui prive l’organisme d’un moyen efficace de régulation de l’homéostasie. Quant à l’ élimination intestinale, la déshydratation augmente les risques de constipation en rendant les matières fécales sèches, ce qui accroît la toxémie générale.
Augmentations de la viscosité du sang
Mal hydraté, le sang devient plus visqueux et circule mal dans le fin réseau des capillaires, ce qui entraîne plusieurs conséquences. Le cerveau signale alors son malaise par des maux de tête, des migraines ou une mémoire moins fidèle; les poumons par des difficultés respiratoires (asthme, allergies) et les organes sexuels par des difficultés d’érection.
Quant au système osseux, il souffre également du manque d’eau. Les cartilages devenus trop secs provoquent des douleurs articulaires et les crises d’arthrose se trouvent accentuées. De même les os, mal irrigués par le sang, peuvent être rendus cassants comme une branche sèche.
Diminution du renouvellement de l’eau cellulaire
Elle concerne plusieurs organes. Quand les cellules de la peau perdent leur eau, la peau se ride comme la terre asséchée qui se craquelle. Pour les muqueuses, une forte concentration en eau est indispensable, car elles doivent toujours rester humides pour garder intact leur mécanisme de défense. Sans hydratation convenable, elles peuvent s’assécher, elles aussi, peu à peu.
3. Les principaux déshydratants
L’hydratation insuffisante n’est pas la seule responsable de la déshydratation. De nombreuses circonstances et plusieurs mauvaises habitudes favorisent les pertes d’eau.
Parmi les circonstances, on peut citer le ventilateur trop puissant ou le chauffage exagéré, la climatisation mal réglée, l’ensoleillement excessif, et enfin les maladies infectieuses qui provoquent une forte fièvre et une transpiration importante….
Parmi les mauvaises habitudes sont celles qui utilisent trois puissants déshydratants : le sucre, l’alcool et le sel. Il est impossible de se réhydrater avec des produits déshydratants.
Les boissons sucrées et alcoolisées augmentent l’apport calorique et déshydratant, car la digestion du sucre et de l’alcool exigent beaucoup d’eau.
Les boissons diurétiques (café, thé, bière, vin blanc) stimulent les pertes d’eau dans les urines et contribuent à augmenter l’apport de toxines.
Tips ? À chaque verre d’alcool, boire un verre d’eau, et le lendemain plus de barre dans la tête. Et pour le café ? La même chose, comme en Italie !
Les aliments sucrés, très salés, le tabac et la plupart des médicaments contribuent à aussi déshydrater l’organisme.
L’alimentation joue également un rôle. ( voir prochaine BLOG ce mois.)
Quant au stress, les pertes d’eau qui l’accompagnent (diarrhée, envie d’uriner, sueurs froides) résultent d’une réaction de l’organisme qui cherche à se protéger de la surtension.
Conclusion, pour éviter la déshydratation, il est donc indispensable d’adapter la quantité aux besoins réels, en veillant à bien hydrater les nourrissons et les vieillards avec de l’eau, liquide idéal, le seul à correspondre aux nécessités profondes de l’organisme. La question se pose alors de savoir quelle eau est valable pour préserver sa santé; deux opinions s’opposent: l’une est officielle et l’autre, bioélectronique.