EAU DU ROBINET… ET PROTÉINE SPIKE ?

Soyons plus Conscients mes amis. Chaque jour, au taquet ! Notre santé en dépend. Elle est entre nos mains ! Qui s’est déjà renseigné sur le long cycle parcouru par l’eau arrivant vers nos robinets ? Quel est son monitoring ? Nos eaux usées reviennent-elles dans le cycle ? Et si elles contenaient la fameuse protéine Spike avec le nombre élevé de vacciné.e.s à Bruxelles ? Le BWI vous  protégerait-il ? 

 

Pourrions-nous boire une eau du robinet contaminée par le SARS-COVID 19 ? Ou, dernièrement, par la protéine Spike présente dans les vaccins à ARN ? La question est importante. Est-ce que notre gouvernement se la pose… Son système de monitoring des eaux, qu’elles viennent des nappes phréatiques ou, surtout, des eaux usées, est-il suffisant ? Des ONG sérieuses comme Alliance for Natural Health (ANH) International se posent la question. 

 

D’abord, avant tout : peut-on imaginer une épidémie qui se propagerait à travers les eaux usées ? 

 

Maintenant que des méthodes de séquençage génétique comme la PCR ont été déployées partout, vous pouvez tester les  eaux usées pour obtenir une indication précoce si une épidémie est sur le point de se produire ou pas. 

 

En fait, une petite proportion seulement de personnes testent régulièrement, surtout si elles se sentent en bonne santé. 

Mais en septembre 2020, les Centers of Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis ont lancé leur système national de surveillance des eaux usées pour aider à fournir une alerte précoce de la propagation du SRAS-CoV-2 dans les communautés. 

 

Attention, oui nous vivons en Belgique, pas aux USA … Mais j’avais lu dans la presse “ il y a 20 ans, Bruxelles déversait encore ses eaux usées directement dans la Senne ! (...) A la pointe de la technologie, la station Sud traitera début 2019 de manière très fine les eaux bruxelloises pour en retirer par exemple des micro-plastiques…

 

Oui et cette station Sud  vient d’être totalement rénovée, avec un ministre écolo lors de la cérémonie d’ouverture. Mais, cette eau même assainie des micro-particules plastiques et autre  est toujours déversée dans la Senne ou ailleurs. Parfois récupérée pour le chauffage dans le processus de la riothermie. Mais les virus, les molécules, les micro-particules ? 

 

Notre gouvernement parle de membranes dont les pores sont à 0,04 microns de longueur… Le Spike est à 0, 01 microns. 

 

Size does matter

 

Oubliez évidemment le charbon actif et les  filtres classiques à sédiments pour filtrer ces crasses.

 

Voici les statistiques récapitulatives. Diamètre du SARS-CoV-2 : 100 nanomètres (0,1 micron) ; longueur de la protéine  Spike SARS-CoV-2 : 10 nanomètres (0,01 microns)

 

En bref, cela signifie qu'une particule virale SARS-CoV-2 est environ 10.000 fois plus grande que la taille des pores de la membrane d’Osmose Inversée de notre système BWI. Peut-être plus important encore, la protéine Spike SARS-CoV-2 est environ 1000 fois la longueur du diamètre des pores du Osmose Inversée BWI.

 

No Pasaran !

 

Mais “pas op”. Il y a encore une grande différence entre les systèmes de filtration par Osmose Inversée sur le marché et le système Best Water Int. conseillé par Aquaconscience depuis 15 ans. Leurs pores laissent encore passer des micro-particules…

 

On en reparle. 

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