Bio-vrac se réjouit de son eau en vrac

Originellement, la démarche de Bio-Vrac était de mettre fin à l’eau en bouteille plastique et d’introduire une eau disponible en vrac. Et, bien sûr, à emporter dans vos récipients.

C’est le dynamique et engagé Philippe Polomé, responsable achat chez bio-vrac, qui a été insisté sur la notion de l’importance de la qualité de l’eau, —notion essentielle enseignée par Aquaconscience. Il n’était pas question d’utiliser “un petit filtre charbon” ou une autre solution limitée à cet effet.

“Le premier but est aller vers une solution zero déchet ! De plus, faire du bénéfice sur l’eau en plastique est très faible. Pourquoi alors polluer inutilement ?”, se demande-t-il.

Christine se sert de l’eau en vrac (BWI).

Christine se sert de l’eau en vrac (BWI).

Les résultats : “La venue du BWI - BestWater international, technique conseillée par Aqua conscience, a amené le personnel à se servir généreusement et à prendre conscience de l’importance de ce qu’on ingère. Nos clients sont heureux d’avoir la possibilité de pouvoir prendre l’eau en vrac, en plus le retour est très positif. L’eau est appréciée pour sa qualité ”.

Avant, Bio-vrac vendait 1 tonne d’eau en plastique - St Anna - par mois.

Le résultat du changement après 3 mois ? 1,2 tonnes eau en vrac (BWI) par mois, plus facilement écoulée avec les bidons de 7 ou 10 litres.

Après 8 mois, cette technique a fourni 1,5 tonnes d’eau/mois !

Un bénéfice inattendu : 0,30 cents /litre x 1200 litres = 360 euro par mois / 4320 euro par an.

La vente d’eau en plastique a diminué de 60%.

“D’ailleurs, l’an prochain nous n’aurons plus d’eau en plastique chez Bio-vrac”, se réjouit Philippe Polomé.

Dernièrement, en effet, grâce à la pureté et à son goût délicieux, la totalité des ventes en EAU pure a fortement augmenté chez Bio-vrac.

Devant Bio-vrac à Uccle.

Devant Bio-vrac à Uccle.

 

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